Je comprends que ce film ne laisse pas indifférent. En effet, le réalisateur nous présente dans une ambiance anxiogène, une société en perdition, ravagée par le désespoir et la cruauté.
Arthur Fleck en devient la victime et subit les sévices de cette roue infernale. Sali, meurtri et humilié, même par ses amis et ses proches, il sombre progressivement dans la folie. Sa frénésie le mène à l’usage de la violence afin de se venger de ceux qui lui ont fait du mal. J’ai pu retrouver le fiel qui nourrit le personnage de Vincent. Un jeune homme veule, offusqué par une agression gratuite, qui décide de franchir la ligne rouge.